Quatre conseils qui feront de vous un gourou du Tartufata Sauce Ingréd…
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La grande faute que commettent les hommes de notre temps est de demander à leur femme le moins qu’ils peuvent, de la traiter comme un jouet, une poupée qui n’est autour d’eux que pour être habillée et déshabillée. Mettez-vous bien cela dans l’esprit, maintenant, truffes afin d’arracher à temps de votre cœur tout ce qui ressemble à une illusion, à un espoir quelconque, afin de supporter avec moins de douleur ce qui doit arriver, ce qui arrivera fatalement. Déplacez cette même femme au cœur généreux ; mettez-la dans un équipage ; installez-la chaque soir dans une loge ; ne lui imposez pour devoir que celui de plaire à son mari, truffes surgelées de l’entretenir agréablement, et l’ange se changera en démon capable d’arracher le cœur de la poitrine de celui qu’elle a épousé, pour le faire fouler aux pieds par le premier Adonis venu. Wiepert la regarda avec un bon sourire venu du fond du cœur et se tourna à nouveau vers Andor. Sur le plat : Garnir le fond du plat d’une légère couche de purée de haricots rouges et de 2 minces tranches de lard maigre grillé. Le tableau surtout la frappa des confessions élancées de femmes qui, debout, la bouche tendue, plaquée contre le cuivre du confessionnal, se soutenaient et s’appuyaient avec leurs deux mains près de leur tête, posées à plat contre le bois, dans le mouvement de ces buveuses de campagne approchant la bouche d’un filet d’eau plus haut que leur bouche.
Samedi 22 décembre. - Ce soir, à dîner chez Pierre Gavarni, Rogier l’égyptien, l’ami de Gautier et de Gavarni père, Rogier, le bibeloteur de choses italiennes, parlait d’un admirable portrait de la femme de Jean-Baptiste Tiepolo, qu’il avait vu à Venise, et dont un vieil amateur du pays, qui, enfant avait connu le mari, Fraîche Tuber Brumale disait : « Une méchante femme ! Tenez, voici ma femme. Ce n’est pas un sacrifice, s’écria la jeune femme ; pour moi, ce n’en est pas un. Avant tout, il faut nous expliquer au sujet d’une certaine jeune fille. Vous reconnaîtrez sans peine, je m’imagine ; qu’un seul ouvrage comme l’Histoire de la civilisation, de l’Anglais Thomas Buckle, a rendu plus de services à l’humanité que toute notre littérature historique, dont nous sommes si fiers et qu’un penseur qui écrit d’une manière aussi claire que Voltaire, ou Arthur Schopenhauer, contribue bien autrement à ôter aux hommes « le bandeau de l’erreur » que tous nos philosophes archi-sages pris en bloc.
Ces grands buts représentent l’idéal de l’individu aussi bien que de l’humanité tout entière, et il est naturel qu’aussitôt un but atteint, un but nouveau surgisse. Vous êtes un homme d’esprit, de talent, de savoir ; pourquoi enterrer tous ces dons ? Les Espagnols, pendant leur conquête, n’ont fait que constater l’importance que ces cultures avaient prise chez les Indiens. Vous ne voulez pas me faire croire, je suppose, que vous êtes utile à quelqu’un avec vos cours, pendant lesquels vos auditeurs pensent à quelque chose de plus amusant, ou que vous faites quelque bien avec vos écrits, qui ne sont et ne peuvent être lus que par des savants ? Pendant longtemps nous n’avons fait qu’amasser de la matière, de la matière grossière, sans âme ; mais l’esprit, qui doit planer sur les eaux pour former, animer cette matière, ne vient pas, ne veut pas venir. Vous me permettez, n’est-ce pas, de vous parler sans détours ? N’est-ce pas déplorable ? Vous n’avez demandé aucun sacrifice à votre bien-aimée, mon jeune ami ; il ne faut pas vous attendre à ce qu’elle vous en fasse un. Je connais les femmes, mon jeune ami, c’est pourquoi je ne m’illusionne nullement sur la nature féminine ; c’est pourquoi je suis heureux avec ma femme.
La jeune fille qui vous a charmé, - tout amour n’est-il pas un charme ? N’êtes-vous pas horriblement jaloux ? Je vous ai déjà dit que le bonheur n’est que dans les efforts que l’on fait vers un but ; mais où il n’y a pas de but, de grand but, l’effort cesse. Le secret de ces phénomènes moraux est qu’en ce monde, il n’y a rien, rien qui en soi-même puisse nous donner le bonheur, si ce n’est la lutte, les efforts vers un but. Il existe une joie à la portée de tous, même du plus pauvre, et cette joie, c’est de faire quelque chose, un travail utile à soi-même aussi bien qu’aux autres. Si vous êtes pauvre, demandez-lui de partager votre indigence, vos soucis, et elle prendra pour elle plus de la moitié de vos chagrins ; demandez-lui de soulager vos douleurs, et elle souffrira avec vous ; demandez-lui d’être mère, de donner sa vie goutte à goutte pour ses enfants, et elle offrira sa vie ; elle sera même heureuse de l’offrir. Quelques-uns finissent par sauter en l’air, la bouche ouverte pour un cri d’épouvante, puis, muets comme il sied à des poissons bien dressés, déjà à moitié asphyxiés par l’odeur de l’essence et complètement assourdis par le bruit des trompes, ils regagnent le flot, disparaissent.
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Marisol 작성일24-10-05 05:14 조회8회 댓글0건관련링크
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